« Quelques éléments de l’atelier m’ont trotté en tête et m’ont permis de m’interroger sur la manière dont j’agis.
Le triangle est important.« 

« J’ai apprécié les balises (en terme de temps, de ce que je partage, etc.). Ce sont comme des mots clefs à régulièrement interroger. « 

« Après la formation, je me suis rappelé de certains événements. Je me suis demandé comment j’avais pu agir ainsi à l’époque (ne pas mettre ses limites). Je me suis dit que je n’agirais plus ainsi.
[Egalement un retour par rapport à une anecdote]  j’ai compris ce qui était arrivée et je n’agirais sans doute plus ainsi aujourd’hui. »

« Je repars avec le triangle de Karpman et les 4 questions.« 

« Je repars avec une façon de dire les choses/de poser le cadre de manière pratico-pratique : pouvoir dire que je veux me rendre disponible mais pas plus que X temps car j’ai des choses à faire.« 

« Je repars avec le triangle de Karpman et la trousse de secours du sauveur. J’ai de nouveaux outils pour mettre les limites et le cadre dans mes accompagnements. Je suis un peu plus confiante.« 

« Je repars avec l’idée de servir à quelque chose. Après la première visite, j’étais prête à arrêter. Après la seconde, il y avait encore des points épineux. Je pense à présent que c’est possible et que je ne vais pas baisser les bras.
Comment être utile tout en se préservant ?
Je suis là pour apaiser les moments de solitude de la personne que j’accompagne, en lui rendant visite. Je ne suis pas sa mère, sa fille, son infirmière, etc. Je vais essayer de garder un journée particulière pour la voir.
Garder un équilibre : ni contrainte, ni obligation pour elle comme pour moi.« 

« Cela va pouvoir me servir à gérer certaines situations. »

« Il est important de vantiller ce type d’atelier et de faire un rappel régulier, ne fut-ce que pour permettre aux personnes de déposer ce qu’elles portent. »

« Partage enrichissant avec les collègues. Conseils concrets. Je repars avec ce que je voulais ! Mais je suis frustrée par le temps (trop court)…« 

« Je suis épuisée mais je n’ai pas vu les 2h00 passer. (…) En gros on sait tout cela mais assigner des cas précis, c’est très bien. Le travail en petits groupes est extra : meilleure écoute, échanges de plus grande qualité. Vite, clair et précis.« 

« Que puis-je faire pour vous Mme? (s’assurer que la personne a une demande et des attentes avant de lancer un quelconque processus) »

« J’ai beaucoup appris. J’ai notamment compris la réaction de X : je lui ai imposé ma solution, en tant que sauveuse. Je pensais bien faire mais ce n’était pas si bien que cela. »