« Je repars avec l’idée de servir à quelque chose. Après la première visite, j’étais prête à arrêter. Après la seconde, il y avait encore des points épineux. Je pense à présent que c’est possible et que je ne vais pas baisser les bras.
Comment être utile tout en se préservant ?
Je suis là pour apaiser les moments de solitude de la personne que j’accompagne, en lui rendant visite. Je ne suis pas sa mère, sa fille, son infirmière, etc. Je vais essayer de garder un journée particulière pour la voir.
Garder un équilibre : ni contrainte, ni obligation pour elle comme pour moi. Garder un équilibre : ni contrainte, ni obligation pour elle comme pour moi. «
